2018 - Peinture et arts plastiques

Le plus profond, c’est la peau

Une proposition de Clarissa Fornara Avec des oeuvres de Lucie Cellier, Carine Chrast, Sara Faustino, Natacha Todeschini, Jessica Voelke et Maria Fernanda Ordoñez Le plus profond, c’est la peau est une réflexion autour de la perception rendant compte de la multiplicité de points de vue qu’engendre une œuvre d’art au public. Cette exposition, réunissant six jeunes artistes de la région sélectionnées par Clarissa Fornara, offre au spectateur un cadre pour interroger la relation qu’il entretient avec ce qui l’entoure et les images qu’il approche ; l’emmenant ainsi au-delà de sa première impression. Différents travaux de natures multiples habiteront l’espace du Cabanon et questionneront les conceptions de la perception à travers l’espace. Le plus profond, c’est la peau invite le spectateur à reconsidérer son rapport à l’œuvre d'art.

Lucie Cellier

Lucie Cellier naît le 26 septembre 1997 à Lausanne. Venant d’une famille de musiciens, elle est rapidement encouragée à s’exprimer par la musique mais aussi à travers d’autres formes, tels que le dessin ou l’écriture. Elle poursuit ses études en option arts visuels au gymnase de la Cité de Lausanne, où elle prend part à l’exposition collective Œuvre de Potaches (2017). Elle obtient le prix d’arts visuels à la fin de sa maturité gymnasiale, puis entre à la Haute Ecole d’Art et de Design de Genève (HEAD). Elle poursuit en parallèle une formation musicale à l’EJMA. Sa pratique artistique lui permet d’interroger des thèmes essentiels en expérimentant plusieurs techniques comme la gravure, la photographie, la vidéo, la céramique ou encore l’installation. Par ses œuvres, elle espère créer un espace de partage et souhaite intégrer différents médiums, notamment en liant son travail à la musique ou à la performance. 

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